Analyse fréquentielle (HU) : Différence entre versions
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L’objectif de ces méthodes est de déterminer les probabilités d'occurrence d'un [[Evénement (HU)|événement]] spécifique et par conséquent les [[Période de retour (HU)|périodes de retour]] ou les fréquences d'apparition d'un ensemble d'événements. L'évolution des moyens de calculs permet maintenant d'envisager la simulation en continue d'un grand nombre d'événements, et de réaliser l'analyse fréquentielle des différentes conséquences de ces événements. Il est par exemple possible d’évaluer le nombre de [[Déversement (HU)|déversements]] pour un [[Déversoir d'orage (HU)|déversoir d’orage]] donné par unité de temps ou la charge polluante associée. De ce fait, les normes de rejet sont maintenant parfois basées sur l'analyse fréquentielle des conséquences. | L’objectif de ces méthodes est de déterminer les probabilités d'occurrence d'un [[Evénement (HU)|événement]] spécifique et par conséquent les [[Période de retour (HU)|périodes de retour]] ou les fréquences d'apparition d'un ensemble d'événements. L'évolution des moyens de calculs permet maintenant d'envisager la simulation en continue d'un grand nombre d'événements, et de réaliser l'analyse fréquentielle des différentes conséquences de ces événements. Il est par exemple possible d’évaluer le nombre de [[Déversement (HU)|déversements]] pour un [[Déversoir d'orage (HU)|déversoir d’orage]] donné par unité de temps ou la charge polluante associée. De ce fait, les normes de rejet sont maintenant parfois basées sur l'analyse fréquentielle des conséquences. | ||
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Version du 19 avril 2020 à 16:58
Traduction anglaise : Frequency analysis
Dernière mise à jour : 19/4/2020
En hydrologie, on parle d’analyse fréquentielle pour désigner un ensemble de méthodes statistiques permettant d’étudier des données historiques (de pluie, de débit, etc.).
L’objectif de ces méthodes est de déterminer les probabilités d'occurrence d'un événement spécifique et par conséquent les périodes de retour ou les fréquences d'apparition d'un ensemble d'événements. L'évolution des moyens de calculs permet maintenant d'envisager la simulation en continue d'un grand nombre d'événements, et de réaliser l'analyse fréquentielle des différentes conséquences de ces événements. Il est par exemple possible d’évaluer le nombre de déversements pour un déversoir d’orage donné par unité de temps ou la charge polluante associée. De ce fait, les normes de rejet sont maintenant parfois basées sur l'analyse fréquentielle des conséquences.
Mot en chantier